Dans cette épisode je reviens sur une mauvaise habitude qui consiste à : « sous prétexte que l’on adopte une démarche itérative, un brouillon suffit ».

Un brouillon est et restera un brouillon. C’est de la responsabilité de l’auteur(e) des auteur(e)s d’en changer le statut.

Écrire, se relire, se faire relire… corriger.

Objectif: clarté pour l’interlocuteur/le lecteur.

Qui est mon interlocuteur/lecteur? Que connaît-il déjà? Quelle information est indispensable à sa bonne compréhension?…

On peut garder la structure classique de présentation d’une opportunité d’affaires : CONSTAT, PROBLÈME & SOLUTION.

Chaque composante doit être claire et obtenir l’adhésion de l’interlocuteur/lecteur.

Si vous étiez peintre, oseriez-vous présenter le brouillon de votre esquisse à votre mécène?

Ne perdez jamais de vue que vos interlocuteurs sont sensibles à l’esthétique : le choix des mots, des images, l’équilibre, l’asymétrie…

En somme: votre formulation vous semble-t-elle claire et belle?

Exercice: décrire son opportunité d’affaires en 30 mots, 50 mots, 100 mots. En fonction du nombre de mots on apporte plus de détail sur la mise en œuvre de la solution…

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